C’est cet agneau offert sur la Croix qui est ressuscité le troisième jour. Par son offrande, il est passé de la mort à la vie et Il nous a fait passer de la mort à la vie. Nous savons que par le saint baptême, en plongeant dans les eaux salvifiques, nous passons, nous-mêmes, de la mort du péché à la vie de la grâce.
Malheureusement, il ne suffit pas d’être baptisés pour être sauvés, il faut encore que nous soyons fidèles à vivre en état de grâce. Voila pourquoi, le soir de Pâques, en soufflant sur ses apôtres, le Christ ressuscité leur a donné ainsi qu’à leurs successeurs (les évêques et les prêtres) le pouvoir de pardonner les péchés et de rendre la plénitude de la grâce du baptême. Le sacrement du pardon est donc le sacrement de la résurrection et nous devrions vraiment avoir le désir de le recevoir régulièrement non seulement pour vivre toujours de la vie même de Dieu mais aussi pour avoir la force et le soutien de ne plus pécher et de grandir dans l’amour de Jésus et de nos frères. Tout ceci est impossible à l’homme livré à ses propres forces, mais avec le soutien de ce sacrement tout est rendu possible. Ce sacrement est celui qui fait les saints !
Alors, n’hésitez pas à venir à la source d’eau vive en venant vous « confesser » auprès de vos prêtres qui « recherchent des pécheurs » soit au confessionnal soit dans leur bureau.
« Tu ne voulais ni offrande ni sacrifice, tu as ouvert mes oreilles ; tu ne demandais ni holocauste ni victime, alors j’ai dit : « voici, je viens » (Psaume39).
Votre frère et ami, le Père Dominique Chéreau, curé, sv
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