Mais ces mots ne s’adressent-ils pas aussi à chaque baptisé qui marche également à la suite du Christ ? Et à nous, que nous manque-t-il ? Si l’on nous posait la question, que répondrions-nous ? Sûrement des choses bien utiles qui amélioreraient notre quotidien, peut-être aussi des choses superflues dont nous n’avons pas tant besoin que cela, mais désirons-nous Dieu de tout notre cœur ?
La première lecture nous invite à désirer la Sagesse comme le trésor impérissable de notre vie. Cette Sagesse, ne serait-elle d’ailleurs pas quelqu’un ? Oui, c’est le Christ, Sagesse Incarnée.
Puissions-nous vivre davantage de cette Sagesse, qui nous comble de la véritable richesse par ses sacrements et sa grâce.
« A côté d’elle, j’ai tenu pour rien la richesse ; je ne l’ai pas comparée à la pierre la plus précieuse ; tout l’or du monde auprès d’elle n’est qu’un peu de sable, et, en face d’elle, l’argent sera regardé comme de la boue. Plus que la santé et la beauté, je l’ai aimée ; je l’ai choisie de préférence à la lumière, parce que sa clarté ne s’éteint pas. Tous les biens me sont venus avec elle et, par ses mains, une richesse incalculable. »
Les membres de ma famille s’unissent à moi pour vous remercier du soutien de votre amitié et de votre prière lors du décès de Maman. Si vous n’aviez pas été là, nous aurions été moins de 10 dans l’église... Merci pour vos nombreux témoignages. Je vous bénis de tout mon cœur.
Père Franck Zeuschner, sv