« Le soutien éducatif. Beaucoup de parents souhaitent donner à leurs enfants la meilleure éducation possible, y compris dans le domaine de la foi. Ils n’en ont pas les moyens. Certains sont débordés par les différentes contraintes de leur existence et ne peuvent pas en trouver le temps. Certains se sentent eux-mêmes trop hésitants dans leur foi chrétienne pour en assurer la transmission ou pour aller contre des usages dont ils perçoivent la faiblesse, mais qu’ils ne savent pas affronter (usage des jeux vidéos, certaines formes de loisirs des enfants et des jeunes, désirs d’émancipation des adolescents, vie sexuelle des jeunes, etc…) Sans qu’elles se substituent à la responsabilité des parents, c’est une mission capitale de nos paroisses d’assumer le mieux possible cette dimension éducative. Elles le font par le catéchisme qui demande un effort permanent de formation pour que des laïcs y prennent toute leur part. Elles doivent aussi le faire en mettant en œuvre des propositions pour atteindre le maximum d’enfants et de jeunes.
« Les évolutions incertaines du temps scolaire au gré des années et des réformes rendent de plus en plus difficile de trouver un temps assez long et vraiment propice pour regrouper les enfants et leur permettre de découvrir la richesse d’une vie sociale et ecclésiale. Il faut que nous progressions encore dans la prise en charge des enfants pendant les temps périscolaires. Avec les mouvements de jeunes, le scoutisme catholique et la FACEL (Fédération des Associations de Culture et de Loisirs dont nos patros sont membres fondateurs), un nombre croissant de paroisses profite des moyens mis en œuvre par le diocèse pour accueillir des jeunes le mercredi, le samedi, le dimanche et durant les vacances. Cet effort catéchétique ne doit pas, lui non plus, rester l’affaire de quelques uns. Toute la communauté paroissiale est concernée par l’investissement nécessaire à l’éducation des jeunes, écoliers, collégiens et lycéens. »
Votre curé, le Père Dominique Chéreau, sv